S’il y a un sujet qui préoccupe à juste titre tous les Mouansois, c’est bien l’urbanisation galopante qui s’opère ces dernières années à Mouans-Sartoux.
De cette frénésie à bâtir dont nous sommes encore loin de pouvoir mesurer à l’heure actuelle tout l’impact, découlent déjà de nombreux inconvénients au détriment de la qualité de vie des habitants, en matière de difficultés accrues de circulation, de nuisances sonores et de pollution environnementale en tous genres, de stationnement qui se raréfie, etc.
Une perspective qui a d’autant plus de mal à passer qu’au fil des évolutions successives du Plan Local d'Urbanisme, les « servitudes de mixité sociale » – autrement dit les logements sociaux – occupent de plus en plus d’espace, alors que la réglementation à l’encontre de l’habitat pavillonnaire à la périphérie du centre-ville se veut toujours plus restrictive.
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André Aschieri avait été élu il y a 40 ans parce qu’il s’était opposé à ce que soit édifiée à Mouans-Sartoux une immense cité-dortoir. Pourtant, c’est ce qui est en train de se produire aujourd'hui sous nos yeux ! |  |
Et pourtant ce n’est pas un hasard de l’histoire politique mouansoise si André Aschieri lui-même avait été élu il y a plus de 40 ans parce qu’il s’était résolument opposé à l’époque à ce qu'une immense cité-dortoir voit le jour à Mouans-Sartoux.
Aussi invraisemblable que cela puisse paraître, c’est exactement ce qui est en train de se produire aujourd'hui. D’opération immobilière en opération immobilière, en quatre ans seulement, ce sont près de 600 nouveaux logements qui auront vu le jour sous nos yeux. Etat des lieux…